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Selasa, 14 April 2015

Big Eyes

Amy Adams est une image parfaite comme Margaret Keane, un artiste étouffé qui aurait pu rester juste une autre femme au foyer malheureuse de 1950, si elle n'a pas eu le courage de donner à la botte de son mensonge mari, Walter (Christoph Waltz). Ce est Margaret qui a peint ces portraits de tristes épaves, de soucoupes yeux qui ont laissé les critiques d'art froid. Ce est Walter qui ont commercialisé ce qu'on appelle l'art bas de sa femme dans une industrie de jackpot. Que ébouriffé Margaret était que Walter a pris le crédit pour les peindre, et pire que pendant des années elle lui laisser. "Les gens ne achètent pas l'art de dame," lui a dit Walter.

"Big Eyesaurait pu être un film de vie respectueux de l'exploitation des femmes. Qu'il devient quelque chose scrappier, plus profond et mémorable comique et touchante est due à la rayonnante Adams, qui ne ont jamais patronne Margaret, et le directeur Tim Burton, qui donne au film l'éclat d'une fable lacées avec menace. Pour Burton, "Big Eyes" sert un serre-livres à sa magistrale 1994 film "Ed Wood", également écrit par Scott Alexander et Larry Karaszewski, et aussi un monument à l'art kitsch triomphante.


Ce qui est une fille à faire? Avec son ex menaçant une bataille de garde, elle se marie Walter, qui persuade faim i discothèque propriétaire Enrico Banducci (Jon Polito) pour montrer les peintures de Margaret dans son établissement célèbre, juste à côté des toilettes. Le travail de Margaret décolle vraiment quand Walter frappe sur l'idée de les vendre, à moindre coût, des affiches et des calendriers.

Le conflit se déclenche lorsque le coureur de jupons Walter devient de plus en plus violent et Margaret lui laisse, la mise en place boutique à Hawaii, devenant un témoin de Jéhovah et répandre la vérité sur une radio 1970 dans une interview qu'elle est le seul peintre dans la famille. Tout cela conduit à une séquence d'essai hilarante dans laquelle Margaret et le bâtard sans gloire doivent peindre devant le juge. Burton se regarder le spectacle de Walter tortiller dans la foule de plaisir agréable sans lésiner sur le bilan humain pris une femme forcée de mener une existence d'ombre.

Waltz jambons il dans le style élevé, même si un peu plus de retenue aurait fait Margaret semblent moins dupe de chute pour un homme dont le seul art est le con. Ce est Adams, qui restaure notre intérêt enracinement en nous montrant l'acier, même dans la réserve de Margaret. Ce est une performance de hanter la transparence.

Il est clair que Burton sympathise, moins d'ironie, avec la croyance fervente de Margaret à ce qu'un critique appelle "les grands, bonbons périmés" qu'elle met sur la toile. Une projection récente de l'œuvre de Burton au Musée de New York d'Art Moderne attiré lignes longues et brickbats critiques.

Peut-être ce est pourquoi Big Eyes, pour tous ses décalages de tonalité et le rythme erratique, semble comme plus personnel et sincère film de Burton depuis des années, un hommage à l'aspiration qui pousse même l'artiste le plus marginalisés à l'expression de soi, peu importe ce que l'enfer quelqu'un pense. Walter est mort en 2000, sans la production créative. Margaret, 87, peint encore tous les jours. Burton lui donne la plus douce récompense dans Big Eyes: le dernier mot.

Sujets: Tim Burton, Amy Adams, Christoph Waltz
source:http://www.rollingstone.com/movies/reviews/big-eyes-20141230

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